Chaque dimanche, nous présentons une chronique intitulée « Le livre et le chromebook« . A travers ce rendez-vous, vous découvrez un livre dont le point central est soit Google, soit aussi Google. Avec bien sûr une petite touche de chromebook. Comme une cerise sur le gateau à la crême chantilly. Vous allez apprécier nous en sommes sûrs.

G Suite (anciennement Google Apps for Your Domain puis Google Apps for Work) est une suite d’outils et de logiciels de productivité de type Cloud computing et de groupware destinée aux professionnels, proposée par Google sous la forme d’un abonnement.
La suite inclut les applications Web de Google les plus courantes, comme Gmail, Google Hangouts, Google Agenda, Google+, Google Drive, Google Docs, Sheets, Slides et Forms et Google Sites. G Suite inclut des fonctionnalités répondant aux besoins des entreprises, comme les adresses de courrier électronique personnalisées (@votre_entreprise.fr), un espace de stockage de 30 Go pour les documents et les e-mails, ainsi qu’une assistance 24 h/24, 7 j/7 par téléphone et par messagerie électronique. Contrairement aux logiciels de productivité standard qui stockent les données sur des serveurs classiques dans les locaux des entreprises, cette solution de Cloud computing stocke les données sur le réseau de centres de données sécurisés de Google.

Selon Google, plus de 5 millions d’entreprises dans le monde utilisent G Suite, parmi lesquelles figurent 60 % des entreprises Fortune 500. (source Wikipédia)

Our mission is to organize all the information in the world ( » Notre mission est d’organiser toute l’information dans le monde « ) ; Don’t be evil ( » Ne sois pas mauvais, méchant « ). Tels sont les deux axes principaux de Google Inc. que Barbara Cassin, dans cet essai polémique, examine en philosophe. Elle montre qu’ils se traduisent par deux mots d’ordre : organiser et faire le bien. Comment, dès lors, ne pas entendre le président Bush concluant chacun de ses discours, après le 11 septembre 2001, par un appel à Dieu pour mener la  » guerre juste « ,  » le combat monumental du Bien contre le Mal  » ? L’extraordinaire histoire de l’invention de Google, le  » meilleur  » moteur de recherche, par deux étudiants de Stanford, de son développement jusqu’à son entrée fracassante en bourse, permet à Barbara Cassin d’aborder sous un angle nouveau la question décisive de la dimension culturelle de la démocratie.  » Google est un champion de la démocratie culturelle, mais sans culture et sans démocratie. Car il n’est un maître ni en culture (l’information n’est pas la paideia) ni en politique (la démocratie des clics n’est pas une démocratie), comme l’indique l’avant propos publié sur le site d’Amazon.

Google-moi : La deuxième mission de l’Amérique

De Barbara Cassin, proposé en édition broché au prix de 17,00 euros.

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