Installation de ChromeOs sur un iMac, prouvant que ce nouveau Os accepte même les Mac.

Si Apple m’était conté, nous pourrions dire que cette société à été pour nous une drôle d’histoire d’amour. Celle-ci commence dans une période un peu trouble où la firme s’embourbe dans des reventes de licences. Un soir, nous nous retrouvons avec sur les bras un PowerPc, donné en échange d’un service. Lequel ? Nous ne nous en souvenons plus mais en tout cas, il devait être important vu le prix de l’ordinateur. Il ne manquait rien, même le cable pour une imprimante était compris en paiement. Cette nuit là, j’ai eu le coup de foudre pour l’interface, tellement son look était ravageur. Le lendemain je me promis de faire ma vie avec elle. Les années sont passées, Steve Jobs est revenu et la période Blueberry a usé mes rétines. Même l‘iBook ressemblait plus à une palourde et la souris à un galet qu’à un portable.

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Puis est venu l’iMac Tournesol faisant tourner la tête, l’iBook G4 mais là plus racé aux formes moins spectaculaires. Je suivais avec toujours autant d’amour les mutations de l’Os devenu MacOs alors que l’iMac passait du plastic au métal. Arriva l’iPhone. J’étais devenu un amoureux qui planait. Heureux et acceptant tout. Même les prix ressemblant à des rosiers grimpants. Une nuit je me suis réveillé en sueur. L’interface était toujours là mais je la sentais absente, partie ailleurs. J’ai regardé derrière moi et revu toutes les joies que j’avais connues et aujourd’hui je ne ressents plus rien sauf une certaine lassitude avec toujours des ordinateurs se ressemblant tous, des iPhone de plus en plus chers et des bugs de plus en plus courants.  Le plaisir était parti, restait l’automatisme de travailler avec des produits maintenant sans âme. Je n’achetais plus de matériels neufs, mais plutôt d’occasion. Ainsi j’étais sûr qu’ils avaient fait leurs preuves. Avec la minceur était venues des pannes trop répétitives. La firme Apple avait perdu son esprit startup pour devenir une machinerie lourde et très administrative.


J’ai tourné la tête et mon regard a vu un truc tout en métal, aux formes assez carrées mais pas trop. Lourd, massif et plein d’énergie, c’était le Pixel de Google. J’ai attendu deux ans pour enfin le toucher. Neuf et venant des Usa, j’ai retrouvé les moments d’hier avec Apple. J’ai franchi le Rubicon en passant d’un iPhone à un Pixel XL. Aujourd’hui, je viens d’installer ChromeOs sur un iMac 24′. Une tuerie. Cela fonctionne impeccablement et pas de souci à tous les niveaux. Caméra, micro, tout fonctionne. Sans accro. J’ai même pu installer un deuxième écran me donnant ainsi plus d’espace de travail.
Aujourd’hui, il me reste un serveur fonctionnant plus par routine qu’autre chose, quelques routeurs plus quelques bornes assurant une très bonne couverture Wifi. Pour le reste, j’ai confiance en Google pour me surprendre et me donner l’envie de faire un bout de chemin avec lui.

Demain, nous allons voir justement comment effectuer le passage d’Apple à Google, sans trop d’inquiétude. Même avec sérénité.
Si vous aussi, vous avez effectué votre « coming-out », n’hésitez pas à venir en parler dans les commentaires.

Pour ce qui concerne cet article, nous tenons à préciser que nous n’avons aucun parti pris envers un quelconque système d’exploitation (Os) et que nous respectons autant les personnes appréciant Windows, MacOs, Linux, ChromeOs et autres systèmes dits exotiques. De ce fait tout propos se voulant sectaire ou dénigrant tel ou tel système, sera systématiquement effacé. La démocratie c’est aussi respecter autrui et non pas l’emm…… . Qu’on se le dise.

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