Chaque dimanche, nous présentons une chronique intitulée « Le livre et le chromebook« . A travers ce rendez-vous, vous découvrez un livre dont le point central est soit Google, soit aussi Google. Avec bien sûr une petite touche de chromebook. Comme une cerise sur le gateau à la crême chantilly. Vous allez apprécier nous en sommes sûrs.

Le Diable (en latin : diabolus, du grec διάβολος / diábolos, issu du verbe διαβάλλω / diabállô, signifiant « celui qui divise » ou « qui désunit » ou encore « qui détruit ») est un nom propre général personnifiant l’esprit du mal (aussi appelé Lucifer ou Satan dans la Bible). Le mot peut aussi être un nom commun désignant des personnages mythologiques malfaisants, un ou des diables, avec une minuscule.

Dans le manichéisme, le « mal » est à égalité avec le principe du « bien », l’un et l’autre correspondant à dieu. Dans la tradition judéo-chrétienne, le « mal » et le « bien » ne sont pas égaux : les anges déchus étaient des créatures de Dieu qui n’ont pas été créés mauvais mais ont chu en se voulant les égaux de Dieu et en le rejetant ; eux et leur chef appelé « le Diable » tentent de répandre le mal en agissant auprès des hommes par la tentation. Ce faisant, le Diable a rejeté le bien et il est à l’origine du mal : « Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge » (Jean chapitre 8 verset 44).

À l’origine du mal, esprit du mal dans le monde, il est représenté sous un aspect qui varie entre l’homme et l’animal réel ou imaginaire (ours, bouc, dragon, rapace, etc.), le plus souvent aux traits hideux et repoussants.

L’existence d’une entité représentant la personnification du mal sous tous ses aspects et combinant les fonctions de maître de l’inframonde, destructeur du cosmos et responsable des pires aspects de l’humanité semble être apparue avec le monothéisme. L’élaboration de cette figure originale emprunte néanmoins aux religions polythéistes pratiquées au Moyen-Orient et aux influences desquelles les auteurs de la Bible furent soumis.(source Wikipédia)

Le diable s’habille en GAFA: Google, Apple, Facebook, Amazon

N’acceptons pas les yeux fermés les fausses promesses d’un avenir de la technologie où nous conduisent les NBIC : Nanotechnologies, biologies, intelligence artificielle et sciences cognitives désormais entre les mains de quelques têtes brûlées ?qu’ont fait de nous les GAFA en une décennie ? Quel est cet humain 3.0 qu’ils nous promettent ? Sommes nous désormais enfermés dans un monde virtuel loin de tout principe de réalité?plus du tout sujet mais assujettis. Quelle destiné nous promet l’intelligence artificielle ? Va t-elle nous considérer comme inaptes ?les algorythmes vont ils procéder à une réorganisation mécanicienne du vivant et faire de nous des humains machinisés ? comme l’indique l’avant-propos de cet ouvrage.

Le diable s’habille en GAFA: Google, Apple, Facebook, Amazon

De Jacques Séguéla,  proposé en version broché au prix de 17 euros.

Format broché
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