Chaque dimanche, nous présentons une chronique intitulée « Le livre et le chromebook« . A travers ce rendez-vous, vous découvrez un livre dont le point central est soit Google, soit aussi Google. Avec bien sûr une petite touche de chromebook. Comme une cerise sur le gateau à la crême chantilly. Vous allez apprécier nous en sommes sûrs.

Le mensonge (couramment menterie au Québec) est l’énoncé délibéré d’un fait contraire à la vérité, ou encore la dissimulation de la vérité (dans ce dernier cas on parle plus particulièrement de mensonge par omission). Il ne faut pas le confondre avec la contrevérité, qui désigne simplement une affirmation inexacte, sans préjuger du fait que son auteur le sache ou non. Le mensonge est une forme de manipulation qui vise à faire croire ou faire faire à l’autre ce qu’il n’aurait pas cru ou fait, s’il avait su la vérité. En général, le mensonge s’oppose à la véracité (le fait de dire le vrai), à la sincérité ou à la franchise.

Plus précisément, mentir consiste à déguiser sa pensée dans l’intention de tromper. Cette intention distingue le mensonge d’autres usages faux de la parole, admis dans le but de divertir ou par pur procédé rhétorique (comme dans le cas de la litote). À ce titre, il est considéré comme un vice ou un péché par la tradition morale philosophique et religieuse, même si certaines formes de mensonges sont légitimées par quelques philosophes – comme Benjamin Constant, dans son célèbre débat avec Emmanuel Kant sur le « droit de mentir ». Ainsi, certains mensonges sont punis par la loi, comme l’usage de faux, le non-respect des contrats dans le commerce, ou la fausse déclaration en justice. (extrait du site Wikipédia)

Les parents favorisent-ils les garçons plutôt que les filles ? L’école que l’on fréquente influence-t-elle réellement notre réussite ? Mentons-nous souvent sur notre sexualité ?
En ce début de xxie siècle, nos navigations Internet génèrent 8 millions de giga-octets de données chaque jour. Une quantité stupéfiante d’informations qui en disent long sur chacun d’entre nous, car c’est à notre moteur de recherche que nous confions nos questions et nos pensées les plus intimes. S’appuyant sur les recherches Google de millions d’Américains, Seth Stephens-Davidowitz nous livre des révélations fascinantes sur des sujets aussi divers que la politique, le racisme, la violence, notre sexualité, nos relations familiales, le sport…
À la lumière de ce « sérum de vérité numérique » qu’est le Big Data, il nous invite à lever le voile sur nous-mêmes et à prendre conscience de nos préjugés… pour mieux changer.

« Une plongée inédite dans la psyché humaine […]. Infiniment fascinant. » Steven Pinker, auteur du best-seller La Part d’ange en nous

« Une exploration incroyablement intelligente et malicieuse de ce que le Big Data nous révèle de notre quotidien. Seth Stephens-Davidowitz est le meilleur conteur de données que j’aie jamais rencontré. » Steven Levitt, co-auteur du best-seller Freakonomics

« Les conclusions empiriques présentées dans Tout le monde ment sont si intrigantes que ce livre serait passionnant même s’il était structuré comme une longue liste. » The Economist, comme l’indique l’avant propos publié sur le site d’Amazon.

Tout le monde ment… (et vous aussi !) Internet et le Big Data : ce que nos recherches Google disent vraiment de nous

De Seth Stephens-Davidowitz, proposé en édition broché au prix de 24 euros et au format Kindle à 16,99 euros.

Format broché Format Kindle
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