La sécurité des outils informatiques est un formidable enjeu pour les éditeurs de ces produits. Les ressources financières allouées au département de la sécurité pour les éditeurs est devenu une part importante des dépenses. Car ne l’oublions pas, autant il est difficile de créer une envie chez le consommateur pour utiliser l’application ou autre outil, autant en quelques semaines, une faille de sécurité peut entacher la réputation d’un produit et détruire la confiance des utilisateurs. C’est pourquoi investir dans la sécurité informatique n’est plus une option, mais une nécessité absolue pour les entreprises qui souhaitent prospérer dans le monde numérique actuel. Et pour l’utilisateur que nous sommes, la surveillance numérique est-elle un mal nécessaire pour la sécurité de nos données ? Je vous propose de connaître mon analyse à ce sujet.
Acer Chromebook 314 CB314-2H-K7AR
Marque Acer Nom de modèle CB314-2H-K7AR Taille de l’écran 14 Pouces Couleur Gris Taille du disque dur 64 Modèle du CPU MediaTek MT8183 Taille de la mémoire RAM installée 8 Go Système d’exploitation Chrome OS Caractéristique spéciale Portable Description de la carte graphique Intégré
Je m’engage a protéger tes données
Il est donc devenu habituel si ce n’est obligatoire pour des firmes comme Google, Apple, mais également Netflix et autres éditeurs d’applications, d’informer l’utilisateur de toute utilisation un tant soit peu suspecte de son produit. Cela peut concerner autant un nombre excessif de connexion, comme une adresse IP qui peut sembler suspecte, car nouvelle ou inhabituelle. Certains diront qu’une telle surveillance est intrusive vis-à-vis de nos libertés numériques, mais ne faut-il pas justement apprécier une surveillance de notre activité, permettant d’assurer la sécurité de nos données ? Car l’enjeu est là, et derrière ce fil à la patte, c’est la renommée de l’éditeur qui peut être remis en cause à tout instant.
On achète pas, on paye pour utiliser
Ce n’est jamais la faute de l’utilisateur, si un fichier est effacé, mais toujours la faute de l’ordinateur. Il ne peut pas en être autrement, encore moins quand il s’agit d’une société auquel vous avez acquitté une certaine somme pour employer son produit. A ce sujet, vous utilisez un outil informatique, qui pourra être une application ou un service, mais jamais il ne vous appartiendra. Ce que vous acquitter vous donne juste le droit de créer des données, que ce soit des fichiers ou des métadonnées concernant la visualisation d’une vidéo ou l’écoute d’une musique. Toutes ces informations, même si vous les avez créées, sont indirectement la propriété de l’éditeur. Preuve en est : vous cessez d’employer une application, les fichiers que vous avez créé avec celle-ci peuvent dans certains cas, ne plus être lisible, par d’autres outils.
Accepter d’être informé
Alors comment se concrétise l’information de l’éditeur vers l’utilisateur quand il constate une activité suspecte de l’outil que vous employez habituellement ? De manière logique, par l’envoi d’un courrier électronique. Informatif, il est là pour communiquer une activité qui semble inhabituelle. Comme le montre celui envoyé par mon agence bancaire, on amène le lecteur à s’intéresser au contenu, en mettant en rouge ce qui semble “suspecte”.
Autre exemple avec ce courrier reçu par Netflix, m’informant d’une activité là encore inhabituelle.
J’ai compté l’ensemble des courriers de ce type que j’ai reçus en moins de vingt-quatre heures. C’est un total de huit, oui huit notifications d’activité suspectes, qui je vous rassure ne le sont pas. En effet, depuis quelques heures, j’ai fait équiper ma nouvelle habitation de la fibre. Je suis donc passé d’une vitesse ashmatique de 6 Mo en descendant à…….
Est-on surveillé à bon escient ?
Nouveau moyen de communiquer ajouté à un déménagement et voilà que je constate que je suis surveillé mais selon moi, dans le bon sens du terme. Et ceci, dans le but de protéger mon identité numérique comme mes données. Il ne peut pas en être autrement puisque les éditeurs m’ont vendu cette sécurité. Ils s’y engagent à tout instant, ayant trop peur de perdre ce que demain je pourrais leur donner. C’est-à-dire des données autant dans l’emploi de l’outil que je paye ou proposé gratuitement, comme ma personnalité qu’ils vont pouvoir cerner au fur et à mesure qu’ils collectent des informations sur moi. A l’heure où l’outil informatique s’impose partout, il s’agit aujourd’hui d’accepter ce deal, sinon, il reste à trouver une île déserte et vivre d’amour et d’eau fraîche.
HP Chromebook Plus 15a-nb0000sf
Le HP Chromebook Plus 15a-nb0000sf est un Chromebook 15,6 pouces abordable doté d’un processeur Processeur Intel® CoreTM i3-N305, de 8 Go de RAM et de 256 Go de stockage eMMC. Il dispose également d’un écran non tactile HD 1920x 1080.
La surveillance numérique est-elle un mal nécessaire pour la sécurité de nos données ?
En fin de compte, cette surveillance accrue, aussi inconfortable puisse-t-elle paraître, est le prix à payer pour naviguer en toute sécurité dans l’océan numérique. C’est un contrat tacite que nous passons avec les fournisseurs de services : ils protègent nos données, et en échange, nous acceptons un certain niveau de surveillance. Bien sûr, il est essentiel de trouver un équilibre entre sécurité et respect de la vie privée. Mais à l’ère du numérique, où nos vies sont de plus en plus connectées, il semble que la surveillance soit devenue le gardien vigilant de notre identité numérique. Alors, adaptons-nous, naviguons prudemment et rappelons-nous que même sur une île déserte, on n’est jamais vraiment seul… du moins, pas avec un smartphone à la main. Justement, c’est un vendredi que parait cet article !!