Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais régulièrement j’achète des produits sur le site en ligne Amazon. On peut critiquer son système d’emploi de ses collaborateurs, comme une trop mince prise en charge du recyclage des achats retournés. Pour moi qui habite en plein cœur du Morvan, je peux vous assurer pourtant, que ce site d’achat est d’un précieux secours. Comme à chaque achat, le site Amazon me demande mon appréciation sur le produit.
Après l’avis, vient le moment où il m’est demandé de répondre à une question d’un éventuel acheteur d’un produit que j’ai acquis. Et là…… bon en restant correct, je me demande si les personnes qui posent les questions savent exactement à quoi sert le moteur de recherche Google. En lisant certaines interrogations j’ai l’impression de me retrouver vingt ans en arrière, si ce n’est pas plus. Dans ces moments-là, j’ai envie de répondre “Soyez curieux et instruisez-vous en utilisant les outils de l’Internet”.
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Une certaine idée du savoir
Le savoir peut être un ensemble de connaissances acquises au cours d’une formation pour améliorer ses connaissances théoriques et pratiques dans un poste de travail. Il peut correspondre au parcours scolaire comme universitaire afin d’acquérir des diplômes. Mais le savoir peut s’acquérir aussi en dehors de ces deux processus que je viens de citer. Il peut avoir lieu par la lecture, la visualisation de films ou l’écoute de musique, ou que sais-je. A chaque fois, il s’agit de comprendre ce que l’on reçoit comme information, de l’analyser et ensuite seulement de pouvoir la classifier. Un tel classement, si l’on peut l’appeler ainsi, permet de se créer une connaissance qui suivant les inspirations du moment pourra emmener vers telle ou telle voie d’opinion.
Nous sommes tous des autodidactes
En dehors des connaissances acquises que je viens de citer, nous sommes tous des autodidactes, si l’acquisition d’un savoir passe par notre propre initiative de le découvrir. J’entend par là, par exemple, la découverte d’auteurs de romans, l’écoute d’interprètes et comme le visionnage de films. Tout cela, nous crée indirectement un savoir que nous allons acquérir au fil des années. Cette connaissance est en quelque sorte notre intellect, nous permettant de percevoir autant ce qui peut être bien/bon ou non. Suivant en cela une classification qui nous est propre. Je peux ainsi apprécier telle ou telle oeuvre d’un écrivain, alors qu’une autre personne la considérera comme n’étant bon qu’à être mise au pilon. Il en sera ainsi autant des metteurs en scènes pour ce qui concerne les films, mais également de la cuisine, ou que sais-je encore.
Environnement de connaissances
Chacun de nous se crée donc l’environnement d’une certaine connaissance qu’il pourra suivant ses envies, partagé, ou simplement garder pour lui. Cette connaissance a pendant longtemps fait peur à ceux que l’on appelle les puissants. Cela désigne en général, les personnes ayant une emprise sur un groupe de personnes, par le biais d’un pouvoir. Qu’il soit moral ou physique. En effet, la non connaissance étant l’ignorance d’un droit ou d’un devoir, elle ne permettra pas de demander ce qui nous est dû, ou simplement faire ce qui doit être effectué. La découverte de l’imprimerie par Gutenberg a bouleversé ce poids des puissants sur les faibles, puisque ces derniers pouvaient enfin acquérir la connaissance.
A la recherche de la connaissance
Aujourd’hui cette absence de connaissance s’est portée non plus sur l’acquisition de la lecture et de l’écriture mais l’incapacité d’utiliser de manière correcte les ordinateurs et tous les outils qui sont en périphérie. On le voit à travers les lecteurs du site mychromebook, qui apprécient particulièrement tous les articles traitant de la manière de résoudre tel ou tel souci. Egalement dans la meilleure manière d’utiliser les Chromebook. On le voit aussi dans l’importance de plus en plus grande du forum Discord du site. Et cet “appétit” de connaissance est logique. Elle correspond à chacune de ces personnes d’un besoin pour un meilleur emploi des outils informatiques.
Ceux qui ne veulent pas apprendre
Pourtant, il reste comme je les classifie, les “indécrottables”. Ceux qui ne savent pas et qui ne veulent pas savoir. Ne voulant pas apprendre mais exigeant de connaître. Ayant une sorte de refus d’améliorer l’intellect, dont le plafond de verre est assez bas. Même en ayant des connaissances sommaires, ils ne veulent pas utiliser les outils de Google. Et tous ceux mis à leurs dispositions. Ils ont pourtant la connaissance de poser des questions sur tel ou tel produit vendu sur le site de vente en ligne Amazon. Par exemple :
- Pourriez-vous m’indiquer la longueur, la largeur et la hauteur de ce produit ? Puisqu’il s’agit d’un aspirateur Dyson toujours en vente, il aurait suffit à cette personne d’aller sur le site du constructeur. Et connaître ainsi les spécifications demandées.
- Cette imprimante fait-elle scanner en couleur ? Pourtant il est bien indiqué sur la fiche descriptive du produit, qu’elle n’est qu’une imprimante laser noir et blanc.
- Ce smartphone accepte-t-ils des appareils pour malentendants (prothèses auditives) ? L’aide en ligne Google permet de répondre assez clairement à cette question.
Pour toutes ces questions et bien d’autres, Amazon me propose d’y répondre. Ceci, à partir du moment où j’ai été amené à acheter dans le passé ces objets sur leur site. C’est une manière pour eux de valoriser dans le même temps l’acheteur, puisqu’il lui est demandé d’aider un futur acquéreur.
Une certaine colère
Ces quelques questions et j’aurais pu en présenter beaucoup d’autres, me mettent d’une certaine manière en colère. La raison en est simple : en notre époque ou la connaissance nous est offerte gratuitement, pourquoi des personnes refusent de l’acquérir ? On peut l’appeler fainéantise, paresse ou lui donner toute autre définition. Pourtant ces hommes et ces femmes semblent ne pas accepter d’acquérir le savoir. Comme si ce dernier faisait peur, ou simplement n’était pas à leurs portées. Ce savoir passant par l’emploi d’un moteur de recherche, pour justement trouver par soi-même les réponses. Mon analyse s’arrêtera là. Elle montre encore une fois que l’être humain est heureusement une drôle de machine.
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Soyez curieux et instruisez-vous en utilisant les outils de l’Internet
C’est grâce aux outils proposé par Google et les autres éditeurs et constructeurs que chacun de nous peut grandir. Plus exactement acquérir la connaissance. Mais la curiosité est primordiale. Elle nous pousse à nous poser des questions autant sur un livre, la pousse des champignons dans les forêts. Ou la meilleure manière de préparer une blanquette de veau. Il s’agit donc d’être curieux et ainsi d’ouvrir notre esprit à la connaissance. Et jamais ceci ne sera remplacé par une machine, qu’elle s’appelle Intelligence Artificielle ou autre.