Apple, par l’intermédiaire de son PDG Tim Cook dénigre les Chromebook de Google.

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Le marché de l’éducation est surement l’un des plus important dans les nouvelles technologies, elle permet aux jeunes enfants de se familiariser avec de nouveaux usages et de nouveaux langages qui les suivront toutes leur vie. Les deux géants Apple et Google l’ont très bien et se sont lancés dans la bataille de l’éducation avec IOS et MacOS pour l’un et Chrome OS et Android pour le second.

Si Apple avait réussi le premier à s’implanter dans le monde éducatif avec ces tablettes tactiles Ipad hyper intuitives, et ses nombreuses applications tournées vers le secteur de l’éducation, comme les manuels scolaires interactifs avec les iBooks, Google est revenu dans la course jusqu’à s’imposer avec plus de 50% de pénétration dans toutes les écoles américaines et cela grâce à ces Chromebook fonctionnant sous Chrome OS.

Cependant Apple n’a pas dit son dernier mot, et surtout les Chromebook n’impressionnent pas le PDG de la marque à la pomme, puisque pour lui, Apple ne s’abaissera jamais à faire des appareils à bas coûts comme ces « machines de tests » mal finalisés que seraient les Chromebook

Le patron du géant de Cupertino précise qu’il veut proposer aux étudiants et aux professeurs de appareils de qualités, performants et qui aiderons à développer l’apprentissage de la programmation  informatique et donc redevenir le numéro 1 dans l’éducation.

En attendant, Apple perds de très gros contrats et voit sa côte de popularité fondre dans les universités américaines.

Que pensez-vous de la réaction de TIM Cook? Donnez moi votre avis, posez moi vos questions dans la suite de cet article à travers vos commentaires.

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7 Comments

  • Lexou690
    Lexou690
    10 janvier 2016 at 14 h 29 min

    Je suis prof en primaire, et je travaille avec des vieux pc sous windows xp. Utiliser les googles docs et drawings avec le drive est très simple, et chaque élève a son dossier partagé avec les mails des parents pour voir le travail réalisé à la maison. Cout = 0€ !! A non, il a juste fallu des cables pour les connecter au réseau…

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    • Nicolas
      10 janvier 2016 at 14 h 46 min

      Merci pour ton retour, très intéressant..

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  • John
    14 décembre 2015 at 18 h 19 min

    Merci Tim, mais non ce n’est pas le stade de finition de Chromebook qui t’inquiète, ce sont les pertes de parts de marché qui vous font perdre le sommeil. Mais après Microsoft qui a finalement mis son Office 365 dans le Chrome webstore de Google pour usage avec les Chromebooks, Tim finira lui aussi a dechanter. L’utilisateur est juge, peu importent les déclarations des uns et des autres.

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  • petit_sasseur
    petit_sasseur
    12 décembre 2015 at 10 h 31 min

    La stratégie de google est excellente.
    Pour les écoles et lycées,le chromebook est peu coûteux, facile à géré en réseau, les données des élèves sont dans le cloud.Pour les besoins spécifiques, les écoles se tournent vers Linux et les logiciels libres, libreoffice, mapping, …….
    Pour les parents, une perte ou une casse de chromebook n’est pas un drame, en plus les jeux ne sont pas la tasse de thé des chromebooks.Plus de plantage windows, de mise à jour, d’anti-virus etc

    Google est en train de créer des apps spécifiques
    Miser sur le système éducatif est une stratégie à long terme, petit utilisateur deviendra grand.

    Apple devrait trembler, la pomme se flétrie et risque rapidement d’être véreuse.

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    • JackyProut
      JackyProut
      12 décembre 2015 at 13 h 56 min

      Oui mais d’un autre côté il suffit de voir la galère de lire un gros film en mkv sur un chromebook en l’absence d’un lecteur comme vlc. De même pour plusieurs autres sortes de fichiers :'(

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      • Nicolas
        12 décembre 2015 at 15 h 56 min

        JE suis d’accord avec TIm sur le faites que les chromebook n’en sont qu’a leur début, mais de la à taxer d’inaboutie , je pense que la jalousie à un peu parlée ..

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        • John
          14 décembre 2015 at 18 h 07 min

          Nicolas, ce n’est pas la jalousie, c’est une émotion plus poussée qu’on appelle la peur. Cette dernière pousse les gens à faire et à dire n’importe quoi. Se faire déclasser dans le secteur formateur de l’éducation, cela vous donne des sueurs froides car c’est du futur dont il question.

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