Comme chaque dimanche, oublions les tracas de la semaine et évadons-nous loin d’ici plus exactement dans le futur. Un futur idéalisé ou non par l’homme ou la patte de l’humain est présente à travers une œuvre littéraire dite de science-fiction. 

Je vous invite chaque semaine autant à partir sur Terre, mais également dans un futur pas si proche. À visiter une galaxie ou d’autres aliens nous ressemblant vont chercher à nous détruire. À vous enivrer des sons d’un combat dans un space opéra. Ou des voyages interplanétaires alterneront avec la description d’un univers fait de liquide. De vous plonger dans la quête initiatique d’un homme à travers un space fantasy. Partir à la découverte d’univers mystérieux par le biais de planet opéra.

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Chaque semaine, je vous invite à un nouveau voyage et justement voici Tranceperceneige de Jean-Marc Rochette, Jacques Lob, Benjamin Legrand. Vous pouvez retrouver tous les articles du Livre et du Chromebook en cliquant ici.

Voici une bande dessinée majeure des années 80 créée par Jean-Marc Rochette et Jacques Lob. Elle a été reprise à la fin des années 90 pour deux volumes supplémentaires par Benjamin Legrand après le décès de son scénariste. La trilogie du Transperceneige reparait en un volume unique à l’occasion de son adaptation au cinéma (Snow-piercer, sur les écrans dès la fin de l’été) par le plus célèbre des cinéastes coréens, Bong Joon-ho. La redécouverte de l’une des meilleures sagas de science-fiction qu’ait produite la bande dessinée française : trente ans après sa création, Le Transperceneige n’a rien perdu de sa puissance et de sa singulière modernité.

Transperceneige
Transperceneige

Transperceneige

de Jean-Marc Rochette, Jacques Lob, Benjamin Legrand

Un jour, la bombe a fini par éclater. Et toute la Terre s’est brutalement retrouvée plongée dans un éternel hiver gelé, hostile à toute forme de vie. Toute ? Pas tout à fait. Miraculeusement, une toute petite portion d’humanité a trouvé refuge in extremis dans un train révolutionnaire, le Transperceneige, mu par une fantastique machine à mouvement perpétuel que les miraculés de la catastrophe ont vite surnommé Sainte Loco. Mais à bord du convoi, désormais dépositaire de l’ultime échantillon de l’espèce humaine sur cette planète morte, il a vite fallu apprendre à survivre. Et les hommes, comme de bien entendu, n’ont rien eu de plus pressé que d’y reproduire les bons vieux mécanismes de la stratification sociale, de l’oppression politique et du mensonge religieux…

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