Le Chromebook est-il l’ordinateur ultime de sa génération ?

Le Chromebook est-il l’ordinateur ultime de sa génération ? Nous sommes en droit effectivement de se poser cette question. Aujourd’hui, nous sommes arrivés à un point de rupture entre l’informatique telle qu’elle a existé depuis les années quatre-vingt-dix et aujourd’hui. Elle bascule, en effet, dans le tout cloud. Jamais dans l’histoire de cet outil, il a été autant possible de créer, de communiquer, de surveiller comme de voir ses données dérobées. Pourtant, alors que chaque jour les constructeurs d’ordinateurs nous les propose toujours plus puissant, comment seront-ils représentés demain ? Existeront-ils comme une sorte de halo communicant s’affichant à la demande, ou simplement seront-ils tellement intégrés en nous qu’ils ne feront plus qu’un avec l’espèce humaine ? 

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Un ordinateur, c’est quoi ?

J’ai toujours considéré l’ordinateur comme un outil qui, par le biais d’opérations mathématiques, nous permet d’écrire un texte, de dessiner, comme de visionner un film. Aujourd’hui, tout est informatique avec ses cartes à puces et communications. On trouve ce type d’outils dans les véhicules comme les téléviseurs ainsi que les smartphones devenus de vrais ordinateurs par la puissance de calcul qu’ils mettent à disposition de l’utilisateur. Grâce à celle-ci, on peut gommer sur le smartphone certaines parties de photographies avec le résultat dans l’instant. Également discuter par le biais d’une traduction à la volée, avec des personnes verbalisant une langue étrangère. Je pourrais donner d’autres exemples de ce type ou la puissance de calculs est de plus en plus à nous aider. Et, de telles possibilités nous semble complétement normale. Comme si, nous avions toujours vécu avec. 

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En attente du toujours plus

De telles capacités mise au service de l’utilisateur ne semble pas s’arrêter. Un peu comme si nous attendions toujours plus de la part des constructeurs. Il y a dix ans, aurions-nous imaginé les possibilités que nous trouvons aujourd’hui dans un smartphone, ou même un ordinateur ? Nous pouvions en rêver, mais sans penser que demain cela nous serait permis d’en user. Si hier, nous pensions informatique en ne voyant que celle-ci par la puissance du processeur, aujourd’hui nous constatons qu’elle n’est pas l’aboutissement pour l’emploi d’un tel outil. On le voit avec les Chromebook, qui bien que n’ayant pas des processeurs de dernière génération, permettent d’effectuer toutes les opérations que l’on désire. 

Dans le même temps, ce qu’hier paraissait impossible est aujourd’hui permis d’effectuer à un coût raisonnable. Il est ainsi permis d’acquérir des ordinateurs, pour moins de 200 €. Ces outils permettant d’effectuer la majorité des opérations que l’on attend d’un tel produit, ont des capacités qui il y a dix ans nous auraient semblé futuristes. Alors pourquoi le Chromebook est-il l’ordinateur ultime de sa génération ?

Toujours le même mode d’emploi

Depuis les années quatre-vingt-dix, nous sommes passés d’un ordinateur imposant à un ordinateur mobile. Dans le même temps, il nous a été possible de le faire communiquer avec d’autres ordinateurs. Cette communication a engendré ce qu’aujourd’hui nous considérons comme normal. À savoir une informatique présente partout, sous des formes différentes,mais n’ayant pas évolué depuis sa démocratisation. Même si les processeurs, les outils de communication sont plus puissants, le principe est toujours le même. Le mode dans l’emploi est identique à celui d’hier comme l’interface par le biais d’un clavier et d’un pointeur.  Le seul changement a été le positionnement des données comme des applications. Elles sont passées d’un stockage interne à un stockage immatériel. C’est ce que l’on appelle le cloud ou le stockage dans les nuages. 

Quel ordinateur aurons-nous demain ?

Alors, que sera la prochaine génération d’ordinateurs ? Où se situeront-ils ? Comment seront-ils utilisés ? Cela passera-t-il par des prothèses venant se greffer à l’être humain ? Où seront-ils tellement partout que nous n’aurons plus à nous identifier ? Surtout, il y aura-t-il un tel bouleversement dans leurs conceptions, que nous ne ferons plus qu’un avec ce que l’on appelle encore aujourd’hui l’ordinateur ? Toutes ces questions, il faut que les concepteurs comme les constructeurs de ces machines se les posent aujourd’hui pour justement permettre à l’outil informatique d’être encore plus présent demain. Ceci pour une des raisons suivantes : l’emploi des composants employés pour élaborer les ordinateurs d’aujourd’hui se font de plus en plus rare. Les constructeurs n’auront plus demain la possibilité de les construire.

Toujours chercher le mieux

L’homme, depuis sa première apparition sur Terre, est passé de la vie dans les cavernes, à sa capacité à aller sur la Lune. Il sera capable dans quelques années d’y résider pendant un certain temps. Cela montre à quel point, il se doit d’avancer. S’il ne le fait pas, il ne peut que disparaître. Il y a donc, pour ce qui est de l’informatique, une obligation de créer de nouveaux modes d’emploi de cet outil. Sera-t-il immatériel ou simplement présent que par le biais de quelques diodes ?  Le modèle importe peu, simplement ce que nous appelons aujourd’hui l’informatique, doit franchir une étape. S’il ne le fait pas, ce processus ne pourra que disparaître comme l’homme d’ailleurs, car aujourd’hui trop imbriqué l’un à l’autre.  

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Le Chromebook est-il l’ordinateur ultime de sa génération ?

Lors d’échanges avec des personnes, sur cette courte réflexion, ces dernières ne semblaient pas prendre conscience du réel besoin de l’évolution de l’informatique. Il y a eu pour certains comme un étonnement qui se comprenait. Pensez donc, ils commençaient simplement à appréhender l’outil. Parler d’un autre mode d’emploi pour l’outil qu’ils maitrisaient avec beaucoup de tâtonnements, étaient pour eux comme un non-sens.  Pourtant, il doit évoluer et ne plus être matérialisé comme nous le connaissons aujourd’hui. Quand et comment ? Je n’ai pas pu apporter de réponses, mais il est certain, qu’il devra passer dans une autre dimension de type 3D par exemple. Bien entendu, il n’est pas question que cela passe par ce que propose la firme Facebook, pardon Meta, qui a un air de déjà-vu.