Fraichement débarqué sur Stadia, STACKS ON STACKS (ON STACKS) est l’un des jeux offert aux abonnés pro ce mois-ci. C’est aussi l’une des rares nouveautés en jeux indépendants sur la plateforme de Google. Je n’ai donc pas manqué cette occasion de tester le titre dès sa sortie et évidemment je vous fait un retour sur stacks on stacks (on stacks)

C’est quoi stacks on stacks (on stacks)

Dans l’urban dictionnary, on découvre que « Stacks on stacks on stacks on stacks » est une expression utilisée pour parler des tonnes de pognon qui s’empile dans le coffre-fort de votre villa aux caraïbes. Ce qui n’a étrangement aucun, mais aucun, rapport avec notre jeu. Dans le jeu éponyme, le joueur a pour objectif d’empiler des blocs de plus en plus haut jusqu’à atteindre une hauteur donnée. Les cubes, générés de façon aléatoire, apparaissent à des emplacements, eux aussi aléatoires, dans le ciel. Il est ensuite possible de pivoter ceux-ci et de les déplacer sur l’axe horizontal pendant leur chute. Plus la hauteur de votre tour augmente et plus le délai pour placer les cubes deviendra court. Pour ne pas arranger les choses, votre empilement d’objets sera géré par une véritable physique et se mettra à tanguer selon la stabilité, ou non, de votre construction.

Régulièrement, un cube faisant office de dé apparaitra sur votre tour et déclenchera un événement aléatoire parmi une petite sélection. Le bébé fera apparaitre de gigantesques cubes marqués de lettres et de couleurs, assez facile à empiler, tandis que les saxophones genereront des notes de musique géantes, bien moins évidentes à positionner proprement.

D’autres modes de jeux feront leur apparition au fil de l’histoire, comme des niveaux vous demandant à l’inverse de positionner un certain nombre de pièces en dessous d’une hauteur maximum. Le mode histoire est d’ailleurs articulé autour d’un scénario globalement assez incompréhensible. SI l’univers et la narration semble destinés à des enfants, la difficulté l’est bien moins quant à elle, et est en vérité assez mal dosée, y compris pour des adultes. Les objectifs de temps semblent démesurés dès les premiers niveaux, et la prise en main que ce soit au clavier ou à la manette, est assez approximatif.

Retour sur stacks on stacks (on stacks)

On s’ennuie malheureusement assez rapidement, et la difficulté plutôt mal dosée n’est pas pour encourager à le joueur à rester non plus. Si la physique du jeu est intéressante on a déjà vu des titres reposants sur le même concept pourtant bien plus fun. Tricky Tower reprend en effet, bien qu’en 2 dimensions, les mêmes mécaniques et propose une direction artistique bien plus attirante. STACKS ON STACKS (ON STACKS) est finalement assez décevant, et ne devrait plaire qu’à une toute petite niche de joueurs.

Fort heureusement Splittings, lui aussi offert aux Stadia pro ce mois-ci, est à l’inverse une bonne surprise, proposant un mode solo plus développé que ce que son trailer ne nous laissait entendre, mais ceci est une autre histoire dont je vous parlerai une autre fois.

Et vous, quel jeu vous a marqué ou déçu dernièrement sur Stadia ? Dites-le-nous en commentaires.

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