Comme chaque dimanche, oublions les tracas de la semaine et évadons-nous loin d’ici plus exactement dans le futur. Un futur idéalisé ou non par l’homme ou la patte de l’humain est présente à travers une œuvre littéraire dite de science-fiction.
Je vous invite chaque semaine autant à partir sur Terre, mais également dans un futur pas si proche. À visiter une galaxie ou d’autres aliens nous ressemblant vont chercher à nous détruire. À vous enivrer des sons d’un combat dans un space opéra. Ou des voyages interplanétaires alterneront avec la description d’un univers fait de liquide. De vous plonger dans la quête initiatique d’un homme à travers un space fantasy. Partir à la découverte d’univers mystérieux par le biais de planet opéra.
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Chaque semaine, je vous invite à un nouveau voyage et justement voici À travers la mer des soleils de Gregory Benford. Vous pouvez retrouver tous les articles du Livre et du Chromebook en cliquant ici.
Gregory Bendord est un écrivain de science-finction né en 1941 aux Usa. Il est également un physicien spécialiste de la physique des plasmas. Il a contribué dans les années 1980 à la naissance d’une nouvelle théorie cosmologique, celle de l’inflation cosmique. Ses travaux l’ont amené à écrire une vingtaine de romans et de nouvelles qui mêlent hard science et psychologie. (source Wikipédia)
À travers la mer des soleils
de Gregory Benford
Nigel Walmsley, entré en contact avec une intelligence étrangère (voir Dans l’océan de la nuit ), fait partie de la première expédition interstellaire lancée par l’humanité à la recherche de l’intelligence. Car la Terre, ou plutôt ses océans, a été envahie par des formes de vie étrangères et hostiles, les Essaimeurs, et il lui faut trouver un remède. Auprès d’une autre civilisation s’il est possible. De la vie, il y en a partout, dans la Galaxie. Sous des formes étranges, comme celle des E.M., les électromagnétiques. Et aussi plus redoutables, ainsi les Machines Intelligentes qui pullulent et semblent n’avoir pas d’autre but que la destruction de la vie organique. Comme celle des humains…
