Comme chaque dimanche, oublions les tracas de la semaine et évadons-nous loin d’ici plus exactement dans le futur. Un futur idéalisé ou non par l’homme ou justement la patte de l’humain est omniprésent à travers une fiction littéraire dite de science-fiction. 

Je vous invite chaque semaine autant à partir sur Terre, mais dans un futur pas si proche, à visiter une galaxie ou d’autres aliens nous ressemblant chercherons à nous détruire, à vous enivrer des sons d’un combat dans un space opéra ou voyages interplanétaires alternerons avec la description d’un univers fait de liquide, à vous plonger dans la quête initiatique d’un homme à travers un space fantasy ou partir à la découverte d’univers mystérieux par le biais de planet opéra. 

Chaque semaine, je vous invite à un nouveau voyage et justement voici  Dosadi de Frank Herbert. Vous pouvez bien sûr retrouver tous les articles du Livre et du Chromebook en cliquant ici

Dosadi

Dosadi

de Frank Herbert

Sur Dosadi, il ne reste qu’une ville, Chu. Elle compte plus de quatre-vingt-dix millions d’habitants et autour de ses murs, sur la Bordure, s’en pressent au moins trois fois autant. Le reste. Le reste de la planète est désert. Parce que le sol, les plantes et les animaux, l’air et l’eau contiennent des poisons pour les deux races intelligentes qui peuplent Chu, les humains et les Gowadchins. Le seul espoir de survie réside dans les usines purificatrices de Chu.

Les habitants de Dosadi ne voient jamais les étoiles. Leur ciel est laiteux. Surpopulation, mort facile, confinement : Dosadi, c’est l’enfer. Cerné par le Mur de Dieu. Mais qui joue à Dieu ? Quelle expérience monstrueuse se déroule depuis des générations sur Dosadi ? C’est ce qu’aimerait découvrir Jorj McKie, envoyé extraordinaire du Bureau du Sabotage et ami d’une étoile Calibane. Et aussi Keila Jedrik, native de Dosadi et bien décidée à s’en sortir

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