Depuis l’annonce le 15 février de la sortie de Chrome OS Flex, il ne se passe pas une journée, si ce n’est une heure sans que des articles paraissent sur ce nouvel OS. Qu’il s’agisse de sites spécialisés dans la technologie ou de sites généralistes, tous sont emballés par ce nouveau système d’exploitation. À croire qu’ils le découvrent, comme si les dix ans de son existence qu’il a fêté n’avaient pas eu lieu. Mais, en dehors de cet emballement médiatique que nous allons essayer de comprendre, un autre enjeu plus important est peut-être en train de se jouer. Il concerne tout simplement un positionnement dans l’informatique de demain, par le biais d’un hold-up sur le matériel déjà existant. Alors, Chrome OS Flex serait-il le cheval de Troie de Google ?

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Chrome OS n’est pas né avec Chrome OS Flex

À la lecture des articles “élogieux” sur Chrome OS Flex que la majorité des sites techno ou généralistes ont mis en ligne ces derniers jours, j’ai eu pendant un cout instant l’impression que Chrome OS n’avait pas dix ans d’existence.  Pardon, onze ans. Oui, onze ans puisque le premier Chromebook fonctionnant sous ce système d’exploitation a été présenté en 2010. Il aura connu bien des tourments entre le dédain de la majorité des journalistes dits spécialisés et celui des éditeurs comme Microsoft ou Apple qui ne lui trouvaient que des défauts. 

Une certaine idée de l’informatique d’hier

On aura tout entendu, tout fait croire, tout prétendu, avec à chaque fois un mépris pour ce système d’exploitation. Ils ne croyaient qu’en Windows ou MacOS, ne voyant pas que l’informatique de papa est terminée. Terminés les CdRom trop nombreux pour des applications fort couteuses, terminés les ordinateurs qui ne peuvent pas être utilisés autrement que par son propriétaire, terminé enfin ces prix astronomique pour des outils somme tout devenus communs. Terminé enfin des OS qui d’une mise à jour à l’autre ne donnait à voir que leurs mépris pour l’utilisateur puisque bugués. 

Google casse le plafond de verre

En créant Chrome OS, Google a rebattu les cartes sur la conception et la mise en ligne des systèmes d’exploitations. Ainsi, à sa sortie, pour un outil grand public, il était le premier à le  proposer gratuitement. Le premier ou les mises à jour du système étaient mises en ligne toutes les six semaines. Aujourd’hui, onze ans après elles sont passés à quatre semaines. Surtout, il a été le premier à offrir un outil informatique permettant le fonctionnement d’un ordinateur fondé sur un navigateur web.  Demain, il est certain que les éditeurs comme Microsoft ou Apple, vont devoir changer le paradigme de leurs OS, pour continuer à exister. On le voit déjà avec Windows 11 SE qui s’adressant pour l’instant au système éducatif est beaucoup plus léger et intuitif dans son utilisation. 

Les médias sous la charme de Chrome OS Flex

Dès l’annonce de la sortie de Chrome OS Flex, tous les médias ont été sous le charme de ce nouvel OS et cela ne fait que commencer. Quand on sait qu’il n’est qu’en version bêta, je n’imagine même pas les articles dithyrambiques qu’ils vont publier lors de son passage en version stable. Pour prendre conscience de l’engouement de la presse, en effectuant simplement la recherche des termes Chrome OS Flex, le compteur affiche 12 800 000 résultats. Oui, vous avez bien lu plus de douze millions de pages contiennent les termes “Chrome OS Flex”. Je rappelle que les guillemets permettent de cibler exactement les mots recherchés. Si cet OS n’a pas envouté les médias, je n’y connais plus rien. Petite information ayant son importance pour mieux comprendre les chiffres indiqués : avant le 15 février, date de l’annonce de Google, on n’avait jamais entendu parler de Chrome OS Flex. 

Si l’on s’interroge sur l’engouement qu’il suscite, on peut y voir deux raisons. La première est du fait même de sa facilité d’installation et de son utilisation. On peut ainsi l’employer à partir d’une clé USB ou en l’installant directement sur l’ordinateur. À partir de là, reconnaissons sans parti pris que l’utilisation de Chrome OS, car il s’agit bien de lui, est fluide. On ne se pose pas de question dans l’emploi d’une web application ou d’une extension. Pas de fichiers annexes à installer et une rapidité dans son exécution. 

Pour illustrer cette facilité d’emploi, voici un commentaire qui a été publié par Philippe suite à l’article de Nicolas intitulé “Cloudready devient Chrome OS Flex pour transformer PC et MAC en Chromebook”. 

J’utilise CloudReady depuis plusieurs mois sur un mini pc Mini Forum en dual boot avec Windows 11, chaque OS étant installé sur son propre disque. Au démarrage, il me suffit de faire deux fois “ESC” pour charger CloudReady au lieu de Windows. Je l’ai également installé sur le pc portable Lenovo de ma belle-mère. Son pc n’était pas fonctionnel avec Windows 10. Depuis qu’il fonctionne sous chrome OS, tout baigne ! J’ai fait acheter à mon père sur Amazon une Chromebox CTL de 64 GO et 4 GO de RAM (259 € !). Il avait un vieux pc fonctionnant sous Windows 8. J’ai dû lui faire racheter une nouvelle imprimante HP (wifi) car sa vieille imprimante filaire Epson n’était plus compatible. Comme écran, je lui ai passé notre ancienne TV Philips de 32″ pouvant être connectée en HDMI.

Cette dernière a été très bien reconnue en dépit de son grand âge (13 ans !). Il faut juste penser à l’allumer via la télécommande avant de démarrer la Chromebox. Mon père (87 ans) a fini par très bien s’y habituer à son nouveau pc à l’interface bien plus compréhensible que celle d’un pc sous Windows. Idem pour ma belle-mère (70 ans) avec CloudReady. J’aurais pu passer la vieille tour de mon père sous CloudReady, mais il avait besoin d’utiliser une application Android de bridge. J’espère qu’à moyen terme, les pc sous Chrome OS Flex finiront par bénéficier du Play Store et des applications Android (Molotov,Flipboard par exemple). Pour ma part, à l’usage (je possède déjà un Chromebook), je ne suis pas un grand utilisateur des applications Android. Je ne joue pas. Mais, je reconnais que cela complète bien Chrome OS. 

Ce lecteur n’a pas été payé par la rédaction pour écrire ce commentaire et nous ne lui avons encore moins promis un cadeau. Bon, plus sérieusement, cela montre à quel point Chrome OS est un outil simple dans son emploi. Il est certain que Google avait l’ambition de proposer un tel produit conçu de cette manière. Mais, pensait-il à l’époque que son calendrier allait correspondre une actualité mondiale ou le Coronavirus a modifié beaucoup  de paramètres, et pas uniquement pour Google ? Ces paramètres, on les connait : télétravail, télétravail, mais surtout télétravail. Bref, nous sommes passés d’une informatique de bureau à une informatique nomade. 

La deuxième raison est ce que j’appellerais « dans l’air du temps ». On prend conscience peu à peu que l’ordinateur que l’on achète aujourd’hui pourra durer non plus les quelques années que l’on espérait pouvoir l’utiliser, mais dépasser les dix ans minimum. Un exemple : les premiers Chromebook recevait des mises à jour de deux à quatre ans. À l’époque, on trouvait cela formidable. Aujourd’hui, Google assure que les modèles actuels recevront des mises à jour pendant huit ans. Sachant que dans le même temps le navigateur web Lacros actuellement en mode bêta, va permettre d’assurer une sécurité même après la date de préemption du Chromebook, peut-on s’attendre à employer l’ordinateur entre dix et vingt ans ? 

À partir de là découle, l’emploi de matériels d’occasions. Quel que soit le marchand en ligne, tous aujourd’hui proposent du matériel de ce type. Cela concerne autant Amazon que la Fnac, qui n’hésite pas à mettre en vente des produit non pas déclassé, mais de seconde main. Et c’est là que Chrome OS Flex, devient le cheval de Troie de Google. Au risque de le rappeler ce système d’exploitation s’adresse à tout type d’ordinateurs, qu’ils aient fonctionné sous Windows ou MacOS. 

Chrome OS Flex serait-il le cheval de Troie de Google ?
(Photo DR)

Une certaine idée de la nostalgie

Quand on achète un ordinateur, qu’il soit sous Windows ou MacOS on l’acquiert, car il nous plait généralement. Ce n’est pas que l’OS qui va nous attirer, mais également son architecture extérieure comme ce qu’il a dans le “ventre”, comme la couleur des touches du clavier. Qu’il s’agisse d’un appareil mobile ou de bureau, on va l’utiliser en le personnalisant tout en prenant garde à ce qu’il ne prenne pas trop de chocs. Un lien presque affectif va s’établir, car il va nous accompagner partout et surtout parce qu’il sera le gardien de nos secrets, parfois les plus intimes. 

Un exemple de l’engouement de la presse qui hier tirait sur l’ambulance.

Au fil des années d’utilisation, on y prendra soin et puis un jour, il commencera à vieillir. Oh, pas de beaucoup, mais les applications seront plus longues à s’ouvrir, le temps de son lancement semblera plus …. poussif. Bref, cet ordinateur aura fait son temps et tout nous indique qu’il faut passer à un outil plus rapide. Pour ne pas rompre complètement le lien qui nous unissait à lui, on le range dans un placard, en se mentant en quelque sorte, car croyant qu’il pourra servir encore demain. Les années passent et puis un jour lors d’un rangement, on le retrouve pour le mettre finalement à la poubelle. 

Une sauvegarde de l’environnement

Si, il y a encore quelques années, notre consommation de produits divers et variés paraissait exponentielle, aujourd’hui il en est tout autre. Le développement durable, mais principalement la sauvegarde de notre planète fait prendre conscience qu’il nous faut revoir cette sorte de gabegie. On trie, on récupère, on troque comme on réutilise un produit qui paraissait ne plus servir à rien. Bref, ce qui hier était jeté pour être détruit est aujourd’hui ré-employé. C’est là que Chrome OS Flex devient utile à la planète. On peut ressortir nos vieux “tromblons” de quelques années, pour les réutiliser. À nous le plaisir de retrouver la patine des touches comme du trackpad. Celui d’écouter le son harmonieux diffusé par les hauts-parleurs. De sentir la chaleur de la carcasse de cet “ancêtre”, qui semble avoir retrouvé une seconde jeunesse. 

C’est tout cela et encore plus que propose Chrome OS Flex. Par le fait même d’être installable sur n’importe quelle machine informatique, que ce soit sous Windows ou MacOS, c’est la première fois qu’un OS grand public permet de réutiliser de manière si simple ces ordinateurs vieillissants. Ils n’étaient plus opérationnels ?  Ils retrouvent une seconde vie ! Et quelle vie, puisque pouvant utiliser actuellement Linux, mais il est certain que demain le Google Play Store deviendra accessible. Mieux, quelle que soit la plateforme technologique Chrome OS Flex fonctionnera de mieux en mieux, acceptant de plus en plus de machines. 

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Chrome OS Flex serait-il le cheval de Troie de Google ?

Si Microsoft et Apple avaient leurs pré carré bien délimité avec parfois des intrusions sur leurs machines par Linux ou les Hackinstoch, aujourd’hui il en est tout autre. Avec Chrome OS Flex, Google montre que le système d’exploitation devient universel. Une sorte d’arlésienne que plus personne n’espérait. Microsoft et Apple vont devoir revoir complètement le fonctionnement même de leurs OS respectif, pour chercher justement cette universalité que Google a trouvée et va imposer naturellement par le biais des utilisateurs de plus en plus nombreux. Si pour de multiples médias, l’aventure de Chrome OS a débuté depuis seulement quelques jours, je n’ose pas imaginer sa place dans dix ans.

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10 Comments

  • Jerome
    Jerome
    20 février 2022 at 15 h 05 min

    Pour info, je viens d’installer Chrome OS Flex sur mon vieux Chromebook Dell 7310. Et … Ca marche ! Je n’avais plus de support sur ce chromebook et me voila reparti pour des années lol.
    J’ai juste dû installer ce firmware EUFI : https://mrchromebox.tech

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    • Mister Robot
      20 février 2022 at 16 h 21 min

      C’est étonnant le nombre de plus en plus important, de personnes heureuses d’avoir un Chromebook. Sans que cela soit contagieux, cela fait plaisir à lire.

      Reply
    • Didier
      Didier
      20 février 2022 at 17 h 16 min

      Bonjour Jérôme
      Intéressant ! Peux-tu m’indiquer la procédure que tu a employée ?
      merci
      Didier

      Reply
    • Nicolas
      22 février 2022 at 8 h 30 min

      Top .. merci pour ton retour

      Reply
  • brousse.ouillisse
    brousse.ouillisse
    20 février 2022 at 9 h 55 min

    Bonjour,
    Je suis un amateur de Chromebook, pour ce qu’ils sont : des minitels du 21e siècle. Et ce n’est PAS une critique, ils sont simples à utiliser, souvent peu couteux, très utiles au quotidien, très sécurisés (pour autant qu’on n’installe pas des extensions dangereuses) et faits pour consulter de l’information avant tout. Oui, je sais, la création est possible. Enfin, en ligne, ou alors en débridant l’engin, ce qui était déja possible avec mon Acer C720p qui date de 2014 et qui fonctionne désormais sous…GalliumOS 3.0, puisque plus supporté par Google…et non CloudReady ou encore ChromeOS Flex, qui est, et je partage à 100% le titre de l’article un cheval de Troie contre Microsoft en particulier. Or un ChromeOs reste toujours fonctionnel quand un Netbook des années 2000 ne l’est plus du tout.

    MAIS attention, Google s’en fout de la planète. Et nous faire croire, que « Oh, super, on va recycler nos PC », c’est abuser. Rappelons nous que les Chromebooks ne sont supportés par Google que 5ans, depuis la date de sortie. C’est très court. Donc, Google se fout de l’obsolescence de ses Chromebook et serait intéressé par celle des PC ? Transformer des PC en Chromebook, ça les intéresse, oui, puisqu’un compte Google sera demandé et que l’espionnage pourra continuer. Voila pour le cheval de Troie.

    J’ai eu un Lenovo, qui a duré 10 ans avant que le connecteur secteur ne rende l’âme. Cette machine a eu Windows 7, 8, 8.1, 10 et 11…Jamais Google n’aurait supporté une machine aussi longtemps, à part leur machine à 1500 euros, le Google Pixel.
    Autre problème de support, celui évoqué des imprimantes non reconnues par ChromeOS, mais c’est juste logiciel. Google n’a longtemps pas voulu que les imprimantes USB soient reconnues, parce qu’ils voulaient qu’on utilise Google Print, qui leur permettait de lire nos documents numérisés pendant l’impression, avec la promesse d’imprimer partout.
    J’ai aussi des imprimantes « vieilles » au regard du marketing. Dont une laser qui a plus de 16 ans. Et qui fonctionne parfaitement, merci Brother et la compatibilité Linux !

    On critique beaucoup Windows et Microsoft, qui fait du Google de plus en plus, et ce que Google nous a appris à tolérer au détriment de notre vie privée, on ne l’accepte pas de Microsoft (par exemple, être obligé de créer un compte MS pour installer Windows 11, je suis donc passé sur Linux).

    Les chromebooks/bases sont parfaits pour beaucoup d’usage. Je les ai utilisés en entreprise. Pour un administrateur, c’est simple. Pour les utilisateurs avancés, c’est…plus compliqué. Google veut effectivement faire oublier l’OS. Mais Windows (je ne connais rien du monde MacIntosh) reste le plus universel, même si Linux pousse très fort (il faudrait juste que les développeurs arrêtent de faire des milliards de distribution et se contentent d’enrichir les distributions les meilleures, la fragmentation nuit définitivement à l’essor de la solution.

    En fait, c’est surtout Google, le cheval de Troie. Leurs services sont gratuits et au top (et basés sur beaucoup de technos libres, qu’ils arrivent à transformer en produits markétés). Mais la promesse à son côté sombre et Google est champion pour la dissimuler, il faut bien le reconnaitre. Et l’avenir de la planète, ils s’en foutent.

    Reply
    • Philippe
      Philippe
      20 février 2022 at 13 h 59 min

      Bonjour. Depuis peu et pour les appareils les plus récents (Lenovo Duet par exemple), la prise en charge par Google (mises à jour de sécurité et système) est de 8 ans ! Vous ne trouverez jamais cela pour un téléphone ou une tablette sous Android. C’est d’ailleurs ce qui m’a décidé à investir dans le Lenovo Duet. C’est vrai que lorsqu’on achète un appareil sous chrome Os, il faut avoir à l’esprit que le délai de prise en charge court non pas à compter de l’achat mais de la mise sur le marché de l’appareil.

      Reply
  • Philippe
    Philippe
    19 février 2022 at 15 h 37 min

    Salut Nicolas. Cela m’a touché de voir reproduit mon témoignage. Si cela peut faire avancer les choses. Je n’ai pu résister à l’envie de voir quelle « bouille » avait Chrome OS Flex sur mon mini pc. Je viens donc d’installer Chrome OS Flex (alias Cloudready 2.0) au lieu et place de Cloudready (1.0 ?). Bien que cela soit une version « développeur », tout marche au poil. Comme je suis en dualboot avec Windows, il me suffit de faire « ESC » pour démarrer sur Chrome OS Flex plutôt que sur Windows 11. Chaque OS est installé sur son propre disque. A l’origine, le disque Emtec accueillant Chrome OS était contenu dans mon mini pc « Miniforum », mais en voulant remonter le « disque » (en fait une barrette/SSDM2) supportant Windows, j’ai par mégarde débranché le petit connecteur reliant le disque Emtec au mini pc. J’ai du mal le rebrancher car depuis, impossible de redémarrer sur le disque Emtec lorsqu’il est branché dans le mini pc. J’ai essayé un sens puis l’autre. Rien n’y fait. Le connecteur est vraiment minuscule ! J’ai donc du, en attendant de trouver une solution, le mettre dans un boitier externe relié en usb à l’ordinateur. Depuis, je peux de nouveau démarrer sur Chrome OS via la touche « ESC ». Au démarrage de Chrome OS Flex, comme avec Cloudready, il faut toujours le mot de passe alors qu’avec un chromebook ou une chromebox, il suffit de saisir un code pin. J’espère que cela deviendra possible bientôt. Le navigateur Chrome a repris sa couleur habituelle (en bleu avec la version traditionnelle de Cloudready). Je crois que Google va devoir se résoudre à permettre l’installation d’applications Android, ne serait-ce que pour permettre l’utilisation d’objets connectés comme les imprimantes ou les montres connectées.

    Reply
    • Nicolas
      22 février 2022 at 8 h 24 min

      Chrome OS FLex va faire basculer Chrome oS dans une nouvelle dimension, plus garnd public. Avec cela je suis prêt a mettre un billet sur une évolution très rapide de l’os de Google jusqu’a une unification de Chrome OS Flex et Chrome OS. De ce fait je pense que Google va apporter le support Play Store sur Chrome OS Flex ;)

      Reply
  • Didier
    Didier
    19 février 2022 at 9 h 57 min

    Bel article !
    J’ajouterais que Google et sa clique est prêt pour la petite révolution quand sera généralisée la 5G, et là je pense aux générations futures..

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